C’est l’histoire d’un psychiatre
beau gosse et d’une de ses patientes, un joli brin de fille. Celle-ci lui
présente son « canon » de sœur (oui, à Hollywood, contrairement à la « vraie
vie », tout le monde il est beau, à défaut d’être gentil…). Tout
naturellement, il la ken. Le voila plongé dans une machiavélique machination.
C’est avec qui ? Richard Gere dans le rôle du bellâtre, Kim Basinger et Uma Thurman dans ceux des deux sœurs (pas jumelles…). Plus Eric Roberts, qui joue le mari violent de Basinger.
Et c’est comment ? Une intrigue bien ficelée, un casting adéquat, une ambiance et une imagerie qui lorgnent gentiment vers Hitchcock pour voir s’il y est, le petit « twist » final qui va bien… Dans le genre « polar de la Warner du dimanche soir avant de s’endormir comme un paquet », plutôt le haut du panier.
Phare : oui
Haltère : oui
Femme à poil : dans mes souvenirs, non. Y’a bien la scène « hot » réglementaire entre Gere et Basinger mais elle est stylisée et filmée dans l’obscurité, si bien que l’on devine plus que l’on ne voit.
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