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mardi 26 août 2025

American Beauty (1999), de Sam Mendes

 

Réalisation : Sam Mendes

Scénario : Alan Ball

Pays :  Etats-Unis

Année : 1999

Genre : drame

Avec : Kevin Spacey, Annette Bening, Thora Birch, Wes Bentley, Mena Suvari, Peter Gallagher, Chris Cooper.

Synopsis : Lester Burnham, traverse la « crise de la quarantaine », entre son métier de cadre qu’il déteste, sa maison en banlieue, sa femme névrosée Carolyn et leur fille de 16 ans, Jane, en pleine puberté. Sa rencontre avec Angela, une des amies de Jane, va être l’occasion pour lui de se remettre totalement en question.

Pourquoi ? Pour Kevin Spacey, qui clôture ici avec un Oscar du meilleur acteur sa période faste (1995-2000) ; pour le sujet qui me parle, entre satire de la société américaine et questionnement sur le sens de l’existence, la peur de s’enfermer dans une vie conformiste et de ne pas pouvoir réaliser ses rêves, thème que reprendra Sam Mendes neuf ans plus tard dans l’également excellent Les noces rebelles, avec le couple star de Titanic ; pour la scène, proprement hilarante, où le père facho-réac et homo refoulé espionne son fils qui se trouve chez les voisins d’en face et, par illusion d’optique, croit que celui-ci est en train de tailler une pipe à Spacey.

mardi 1 avril 2025

L.A. Confidential (1997), de Curtis Hanson

 

C’est l’histoire de trois flics du Los Angeles Police Department (LAPD) des années 50, aux profils radicalement différents : le « droit dans ses bottes » scrupuleux, la brute épaisse et le dandy cynique. Malgré leurs inimitiés, ils vont être amenés à devoir coopérer sur une affaire criminelle aux multiples ramifications (flics « ripoux », massacre, trafics en tous genres…).

C’est avec qui ? Guy Pearce, Russell Crowe et Kevin Spacey (j’adore ce mec), alors en pleine « hype » post – Seven / Usual Suspects dans le rôle des flics et Kim Basinger en pute de luxe pour la touche féminine. Plus Danny DeVito en journaliste.

Et c’est comment ? Nous sommes en présence d’un pur produit hollywoodien parfaitement manufacturé par la Warner : adaptation d’un roman de James Ellroy, reconstitution au cordeau du L.A des années 50, gros casting. Par contre, l’intrigue, faut suivre et bien avoir noté les noms de tous les protagonistes (pour tout dire, j’ai rien capté)... De toutes façons, les « gentils » gagnent toujours à la fin, hein. Et bien sûr : à leur contact, le flic bourrin s’assagit et le « bon élève » finit par adopter des méthodes qu’il réprouvait initialement (pragmatisme, quand tu nous tiens…). Kim Basinger ne sert pas à grand-chose mais ça lui fait un Oscar du meilleur second rôle féminin quand même.

Pot-de-vin : oui

Course-poursuite : non

Femme à poil : putain, j’ai déjà oublié… Il ne me semble pas ou alors une poitrine, furtivement, dans un bordel ?