« Et bien Monsieur, j’ai
un ami qui pourtant aime beaucoup les femmes… il prétend que ce sont des sacs
d’excréments. »
C’est l’histoire d’un mec, riche homme d’affaires français (Fernando Rey), qui s’éprend de sa bonniche d’origine espagnole. Celle-ci prend alternativement les traits de Carole Bouquet ou d’Angela Molina, suivant les situations et son caractère (Bouquet, distinguée, froide et distante ; Molina plus souriante et avenante). Il l’aide financièrement, ainsi que sa mère mais rien n’y fait : pas moyen de la fourrer, de la tirer, de la kéni… Soufflant constamment le chaud et le froid, elle lui fera même subir moultes humiliations, jusqu’au point de rupture.
Parallèlement, des actes
terroristes de groupuscules politiques radicalisés se produisent aux alentours.
C’est l’histoire du dernier Buñuel, cinéaste espagnol (puis mexicain) iconoclaste et du premier Bouquet (c’est fou le nombre de personnalités du « showbiz » nées ou mortes à Neuilly…).
C’est… une histoire à devenir MGTOW.
Seau d’eau (en deux mots, obsédés !) : oui
Femme à poil : oui (Bouquet
les seins, Molina les seins et la foufoune)
Up 👍: l’idée du rôle aux deux (par ailleurs diablement beaux) visages
Down 👎: le type prend cher, quand même. Difficile de ne pas succomber à la misogynie après ça ; la fin, qui fait s’entrechoquer les deux thèmes du film, un peu abrupte
Le format de tes articles est décidément très intéressant. Les miens sont trop longs. Inutilement. Surtout lorsque j'évoque des bousins. Heu... Tu as déposé les droits de ton style ou y'a moyen de s'en inspirer ?
RépondreSupprimerAh ah ! C'est que je n'ai pas ton talent et tes connaissances, ni l'envie et l'inspiration. A vrai dire, je m'inspire moi même du style de "Cinéphile Schizophrène", c'est à lui qu'il faut demander... :-)
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