Le seul crime pour lequel c’est à
la victime de prouver son innocence
C’est l’histoire du procès Pélicot et de #MeToo avant le procès Pélicot et #MeToo.
C’est l’histoire d’un des crimes les plus ignobles et abjects qui soit (si tant est qu’il soit pertinent d’établir une hiérarchie dans l’horreur), le viol.
C’est l’histoire d’un film « coup de poing », librement inspiré d’un sordide fait divers, celui de Cheryl Araujo, Américaine d’origine portugaise victime d’un viol collectif (quatre hommes) en 1983.
C’est l’histoire d’une actrice surdouée (et précoce, remember Taxi Driver…), qui empoche là son premier Oscar de la Meilleure actrice (Jodie Foster). Un autre suivra quelques années plus tard pour Le silence des agneaux (1991).
Prétoire : oui
Femme ou homme à poil : oui,
partiellement et furtivement (Jodie Foster) et des fessiers masculins. Et on s’en
serait bien passé.
Up 👍: l’interprétation ;
le récit du viol lors du procès et non au début du film.
Down 👎: la scène du viol, bien avant celle d’Irréversible, insoutenable (moi j’ai pas pu, j’ai appuyé sur « accélérer »). Mais fallait la montrer.
J'adore l'horreur, le Gore, la violence, mais alors, j'ai toujours beaucoup de mal avec le viol. Surtout en bande organisée. Je l'ai vu il y a fort longtemps et ça m'avait pas mal marqué à l'époque. Ça me rappelle d'ailleurs un Brian de Palma qui traite du même sujet me semble-t-il...
RépondreSupprimerPar contre, s'agissant de Irréversible, si tout le monde a surtout pour habitude de citer le viol de Bellucci, j'ai d'abord et surtout été traumatisé par la scène de meurtre à l'extincteur...
RépondreSupprimerJ'avoue ne pas aimer la violence dans son ensemble (bien qu'étant contre toute censure), du moins quand elle est réaliste et qu'elle s'attarde. Après, quand c'est du gore "rigolo" ou que c'est assez rapide, ça va.
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