« Faut voir le bon côté
des choses : on aura tous un collège à notre nom… »
C’est l’histoire d’une comète qui se dirige droit vers les USA et menace de détruire la vie sur Terre (sûrement un coup des communistes ou des islamistes…). Qu’à cela ne tienne, le président du Monde Libre Beck (Morgan Freeman) annonce qu'un gigantesque refuge souterrain a été créé dans le Missouri et qu'un million de personnes soigneusement sélectionnées (sic) pourront s'y abriter pendant deux ans, le temps que le nuage de poussière s'estompe (ouais ben, c’est odieux pour les autres, comme dirait Jean-Claude Dusse…). Parallèlement, la mission spatiale Messie (re-sic), avec à sa tête Spurgeon Tanner (Robert Duvall), va tenter de détruire la comète à l’aide d’armes nucléaires.
Bravo et merci à Mimi Leder d’exalter
ici de bien « saines » valeurs (le courage, le sacrifice, la Patrie, la
Famille hétérosexuelle procréatrice, la soumission à l’autorité et à Dieu
Tout-Puissant), loin du nihilisme et de la dépravation gauchistes. Et
visionnaire, avec ça : dix ans avant l’arrivée au pouvoir de Barack Obama
(le Hollande ricain, plus gestion « pépère » que transformation
sociale…), le président des « States » est un nèg… euh, pardon, un
Noir (seule concession au « wokisme » alors inexistant, en tous cas
sous cette appellation). Bon, pour les scènes de tsunami, Mimi a filmé des Lego
et des Playmobil dans sa baignoire. Si caricatural que ça en devient involontairement
comique…
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