« Oh ben tu sais, ma vie,
c’est pas un musée… »
C’est l’histoire d’un mec, il a gagné gros au loto (plusieurs millions). Alors un soir, à Pigalle, il s’achète… une pute. Oui mais pas n’importe laquelle. Daniela, qu’elle s’appelle. Le genre « bombe atomique ». Elle accepte sa proposition de vivre avec lui. Mais son souteneur ne l’entend pas de cette oreille.
Oui, je fais mon « aggiornamento » Blier, comment vous avez deviné ?
Y’a qui dedans ? Le « monstre sacré » (et « sacré monstre »…) Gégé, comme souvent mais exit les Delon, Carmet, Belmondo, Noiret, Serrault, etc, Blier doit composer avec le « matos » de l’époque, ça descend donc d’une marche ou deux : Monica Bellucci (oui d’accord, elle est belle, y’a à manger mais pas trop mon style), un Inconnu gagné par « l’esprit de sérieux » (Bernard Campan), Jean-Pierre Darroussin (qui se sort brillamment d’un monologue, exercice toujours casse-gueule), Sara Forestier, Edouard Baer (pas à sa place) et il « case » encore sa meuf du moment (Farida Rahouadj), comme il le faisait pour Anouk Grinberg dans les années 90.
Et c’est comment ? Franchement pas terrible. Le récit est moins éclaté qu’à l’accoutumée, il y a bien quelques (rares) fulgurances langagières mais c’est quand même assez « plan-plan ». Un Blier en petite forme.
Stéthoscope : oui
Homme ou femme à poil :
évidemment (Bellucci et Rahouadj les seins, Campan le cul)
Up 👍: quelques dialogues drôles ou poétiques
Down 👎: casting pas convaincant et histoire peu captivante
L'un des mal aimés de la filmographie de Blier mais que je porte personnellement dans mon cœur. Et oui, malgré ses défauts, je l'adore...
RépondreSupprimerOn peut ;-)
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