mardi 28 octobre 2025

Waterworld (1995), de Kevin Reynolds

 

C’est l’histoire d’un mec, mi-homme mi-poisson (enfin, à vue d’œil, plutôt grosso merdo 85% homme et 15% poisson…), en 2500, quand notre inaction climatique aura fait que tous les continents seront désormais engloutis sous les eaux, l’humanité rescapée survivant sur des atolls (sortes d’îles flottantes). Il a inventé un mécanisme purificateur d’urine, lui permettant ainsi de reboire sa propre pisse. En somme, il a inventé le recyclage perpétuel. Vous imaginez, si on pouvait faire pareil avec les selles (aussi appelées « matières fécales », « excréments » ou plus trivialement, « merde ») ? Bon, c’est vrai, on serait condamné à bouffer éternellement le même plat… Mais rien n'empêcherait d’échanger avec son voisin (« bonjour, c’était quoi, ça, à la base ? Un hachis parmentier ? Miam, je prends ! »). Et dès lors, finito l’aliénation consumériste, l’oppression capitaliste, le « travailler plus pour gagner plus » (et vivre moins bien) et la perte de temps à cuisiner, ce serait le bonheur pour les siècles des siècles. Amen. Et bon appétit, bien sûr ! Bon, sinon, Jeanne Tripplehorn (Basic Instinct) a un beau cul mais ça, on le savait déjà.   

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