C’est l’histoire de Charles
Foster Kane (Orson Welles), grand magnat de la presse dans les années 30-40,
qui meurt dans son manoir en prononçant dans un dernier souffle « rosebud »
(« bouton de rose »). Un journaliste va tenter de découvrir le sens
de ce mot et rencontrer celles et ceux qui ont côtoyé Kane, dressant ainsi
petit à petit son portrait et son parcours.
C’est l’histoire du « meilleur
film de tous les temps », selon de nombreux observateurs, dont l’histoire
retiendra que j’aurai attendu juin 2025 pour le voir (comme j’ai attendu avril
2021 pour écouter le Dark Side of the Moon de Pink Floyd pour la première fois,
avec un sentiment mitigé).
Le snob consensuel / l’IA (qui,
rappelons-le, n’est que le perroquet de celui qui la programme…) : « Par
ses innovations techniques et narratives inouïes (flashbacks, travellings, profondeur
de champ, plongées et contreplongées…), Citizen Kane révolutionne la grammaire
cinématographique et s’impose comme une œuvre majeure, voire quintessencielle,
du 7ème Art. »
Le blasé peu loquace : « Mouais,
y’a quand même pas de quoi se relever la nuit… »
L’obsédé : « Ça manque
quand même de fesses et de nichons, cette affaire… Pour la peine, je vais
plutôt me mater Citizen Shane, sa parodie porno mise en boite par Marc Dorcel
en 1994, avec Anita Rinaldi et Draghixa dans leurs prouesses buccales,
vaginales et anales. »
Le biberonné aux Tuche et à
Mission Impossible : « C’est quoi, cette merde ? Y’a pas de
VF, c’est en noir et blanc et on s’emmerde un max ! »
Je vous laisse deviner à quelle(s) catégorie(s) j’appartiens…
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